La question n’est pas tant « y a-t-il des femmes rôlistes ? » mais plutôt « Pourquoi n’y en a-t-il pas plus ? » ou peut-être : « pourquoi ne restent-elles pas ? » Ces deux questions sont plus liées que l’on ne l’imagine.
Adolescentes, elle veulent échapper aux langues de vipères de leurs copines. Adultes confuses, elles se projettent dans des personnages idéaux. Une approche renversante.