Jonny attaque James Wallis pour les malheurs de son perso - et le remercie. James Wallis explique sa vision de Warhammer et de la campagne. Une rencontre entre un auteur et un joueur, via le scénar !
L'important est de s’amuser. Cela peut sembler énoncer une évidence, mais il est surprenant de constater combien nous pouvons nous laisser aller à dévier de ce qui est vraiment important...
Mon fils de 4 ans adore quand mon groupe débarque. Il lance les dés comme un pro. D’accord, je lui fais lancer un dé à 20 faces de la taille de son poing, mais il héritera un jour de la collection de plus de 1000 dés.
Souvenirs de la Montagne de feu, de la Grotte du Sorcier, de duffle-coat pourpre, d'un MJ qui prenait un plaisir sadique à tuer les personnages joués par des filles tandis qu'un autre exigeait de l'argent d'un air menaçant.
Des armes pleines de pointes aiguisées. Des ninjas. Des arts martiaux. Encore des ninjas. Des mitrailleuses. Un peu plus de ninjas. Le Pied. Et les quatre Tortues.
A l'époque qu'évoque l'auteur, une partie de JdR était aussi rapide et demandait aussi peu d'investissement que mettre une cartouche dans la console de jeu. Du coup, même les non-rôlistes y jouaient.