L’auteur a observé les différentes manières qu'ont les filles et les garçons de jouer au JdR. Cela lui a valu une levée de boucliers de la part de la communauté rôliste américaine… Voyez par vous-mêmes si son approche est sexiste.
Je suis armurier. Je fabrique de vraies armures portées par des gens dans des combats à l’épée. Mon expérience m’a donné des idées très arrêtées en matière d’armure fantasy. Je veux corriger Internet.
Les membres masculins ont fait du milieu du jeu, année après année, un endroit toxique, hostile et dangereux pour les femmes. Et ce n'est pas juste mauvais pour les femmes, ou pour nous, mais c'est mauvais pour le jeu en général.
Nous nous sommes retrouvés ce trimestre à traduire plusieurs articles traitant des joueuses de rôles, donc nous avons demandé à notre unique membre-traducTRICE (rejoignez-nous, Mesdames) de nous donner son avis…
La question n’est pas tant « y a-t-il des femmes rôlistes ? » mais plutôt « Pourquoi n’y en a-t-il pas plus ? » ou peut-être : « pourquoi ne restent-elles pas ? » Ces deux questions sont plus liées que l’on ne l’imagine.
Adolescentes, elle veulent échapper aux langues de vipères de leurs copines. Adultes confuses, elles se projettent dans des personnages idéaux. Une approche renversante.
Quelques suggestions (et un grand secret de l'univers) pour les joueurs masculins qui souhaitent encourager des joueuses à les rejoindre, ou des amies à découvrir le jeu de rôle
Il y a peu d’études chiffrées traitant de la mixité chez les rôlistes. En voici une synthèse, ainsi que 5 hypothèses tentant d’expliquer pourquoi il y a si peu de joueuses.
Souvenirs de la Montagne de feu, de la Grotte du Sorcier, de duffle-coat pourpre, d'un MJ qui prenait un plaisir sadique à tuer les personnages joués par des filles tandis qu'un autre exigeait de l'argent d'un air menaçant.