Vincent Baker a créé un petit JdR pour discuter des problèmes entre la déclaration d'intention et sa résolution. C'est l'histoire d'un Tyran de l'Espace, de ses opposants, et des intermédiaires...
Les éditeurs de jeux ne font pas un profit monstrueux sur notre dos. Production et vente comportent de nombreux coûts cachés qui font la différence entre profits et pertes.
Dans un JdR, la seule limite est votre imagination. Raison de plus pour sortir de votre zone de confort et vous pencher sur l'importance des minorités.
La plupart des gens (et donc vos persos) sont très, très réticents à tuer, et ne le feront pas, même en cas de légitime défense. Ils peuvent cependant être entraînés à le faire.
Les persos des joueurs vont trop vite - plus vite que la lumière même! Vite, des astuces pour les détourner, lancer une intrigue secondaire ou peupler un bar...
Les joueurs tuent votre Grand Méchant à la scène 1 et ruinent votre scénar. Cela vous pousse vers une intrigue linéaire dirigiste, non ? Eh bien il est possible de s'adapter quand même…
Peut-on être un traducteur-créateur sans faire partie d'une maison d'édition ? Un auteur indie est-il hippie ? Des jeux gratuits rendent-ils heureux ? Pierre raconte son parcours…